Les éléments structurels d’un bâti, que ce soit le bois, les moellons de pierre ou de terre requièrent pour former notamment un habitat protégé de l’extérieur, une matière malléable, le plus souvent stabilisé par adjonction de sable, gravillons … voire fibre végétales, mais qui en perdant son eau se solidifie et vient ainsi lier, protéger, remplir ces éléments.
A cet effet sur le territoire ont été utilisé la terre, la chaux et plus rarement le plâtre dont la matière première le gypse n’est présente que dans le St Chinianais et la partie nord de l'Aude. (L'on trouvera des informations sur le plâtre qui est plus intéressant que la chaux voir la terre !! dans le site
Quant aux éléments structurels ils sont en pierre; la terre associée ou non au bois semble n'avoir été employé que jusqu'au moyen age dans la plaine probablement en raison de la pénurie du bois et de sa faible tenue aux précipitations méditerrannéennes.
Nous décrirons les caractéristiques de ces 2 matériaux jusqu'à celles des savoirs faire pour leur fabrication.
T3 – Les techniques constructives en terre et les régions
T4 – Evolution de la fabrication des briques
T5 – La terre sur le territoire
T6 – Bibliographie et pour aller plus loin
C3 – Evolution de sa fabrication
C4 – Les fours à chaux sur le territoire
C5 – Bibliographie et pour aller plus loin
T LA TERRE CRUE (terre « brute »)
Elle a été certainement le premier matériau brut utilisé en construction. L’on estime à 40% la part de la construction en terre dans le monde et à 10% en France. Mais sa présence en tant que mortier dans les constructions anciennes est très fréquente. (1)
Le confort intérieur des maisons en terre est reconnu surprenant ; cela tient aux propriétés bio - climatiques (pouvoir isolant et surtout hygrométrique), assainissante et phonique.
Très fréquente, facile d’utilisation, agréable à travailler, elle permet des expressions architecturales, artistiques, techniques très diversifiées. Il est possible de réaliser toute une série de matériaux (et d’ouvrages) : des briques de terre brutes, allégées, comprimées, aux badigeons en passant par des enduits également allégés ou non tout en variant formes et couleurs.
En outre, qualité exceptionnelle, la terre est « réversible », c'est-à-dire ré - employable.
Un travail peut être repris en utilisant le même matériau.
Enfin en construction neuve elle est souvent un « déchet » des fondations et de terrassements éventuels.
Toutefois elle est sensible à l’eau et sèche lentement ce qui nécessite de l’employer dans certaines conditions et qui explique qu’aujourd’hui elle est surtout utilisée à l’intérieur (enduits – cloisons).
Pour qu’elle soit utilisable, elle doit présenter des caractéristiques minimales en particulier elle doit contenir plus de 10% d’argile ou de marnes qui constitue l’indispensable liant ; ceci dit elle est généralement très abondante dans ces conditions.
Il existe une multitude d’argiles ou de marnes (illite, montmorillonite, kaolin …) qui ont chacune des propriétés notamment en égard au comportement avec l’eau (retrait, gonflement). Et donc il existe une multitude de terre composé en plus de diverses sortes de limons, sables, graviers dans des proportions très variables.
Selon ses caractéristiques, la terre conviendra à une ou plusieurs techniques constructives, ce qui explique que ces techniques sont spécifiques aux « régions » vu que le bâti ancien (tout comme le bâti « écologique » aujourd’hui) a été construit avec les matériaux locaux et selon le mode le plus facile.
Néanmoins des traitements (tamisage …) et adjonctions ont pu être nécessaires pour certains types d’ouvrage.
T3 Les techniques constructives en terre et les régions
*Carte (Bâtir en terre p.37) : Ainsi en Occitanie seul la frange littorale et surtout la région Toulousaine ont pratiqué la construction en terre. (en structure).
Parmi les techniques, la construction en brique est la plus répandue (car la plus facile, la plus « souple »), et celle qui a le plus évoluée sans pour autant que soit abandonné ses premières versions chez l’auto constructeur d’aujourd’hui. (2)
Dans la région Toulousaine, l’adobe (brique moulée) apparaît bien avant la période romaine, ces caractéristiques varient selon le lieu, néanmoins on peut distinguer 3 grandes familles
- Adobe fin 42x28x4,9
- Adobe épais 39x29x10,5 (appelés aussi motte de terre)
- Compact 30x16x11 (appelés aussi motte de terre)
Façonnées manuellement avec ou non ajout de végétal dans un moule sans fond en bois.
Le premier format est identique à celui de la brique cuite dont l’existence est aussi ancienne. Ce format de brique crue s’est fortement développé à partir du XVIIIe siècle.
Les techniques et les matériaux ont relativement peu évolués jusqu'à la révolution industrielle (1850) qui a vu l’essor de l’utilisation des briques cuites, puis des agglo de béton dans les années 1930, qui ont entrainé l’abandon des adobes.
Toutefois un renouveau de la brique crue sous une forme moderne (brique de terre comprimé ou BTC) est apparu dans les années 1950 puis 60 avec l’utilisation de presses automatiques.
Les dimensions sont plus petites (30 x 14 x 9 pour la + courante).
T4 Evolution de la fabrication des briques
Les adobes étaient fabriquées sur le chantier par des briquetiers saisonniers ou à proximité jusqu’au milieu du XXe siècle mais également quelque fois dans les briqueteries qui étaient présentes dans chaque village dont le sol était favorable, elles desservaient essentiellement la communauté proche.
Le travail était fait avec une terre plus argileuse que pour les briques cuites plutôt au printemps ; terre préparé : humecté, pétrie, « reposée » comme le pain avant d’être mise dans des moules en bois humectés et enduits de sable pour éviter le collage.
Le séchage de 3 semaines à 1 mois intervenait après, les briques étaient recouvertes de poussière de cendres pour éviter les fissures.
Les adobes compacts, (ou mottes) étaient fabriqués par les paysans en famille, en suivant le calendrier agraire (récolte de blé en septembre qui permet de récupérer les résidus).
Humidification, foulage, amendement avec pailles courtes, moulage, démoulage, séchage plus long que pour les adobes après retournement.
Les BTC nécessitent l’adjonction d’un stabilisant chaux ou ciment mélangé à la terre à sec qui est plus sableuse. Les blocs issus de la compression sont ensuite « mis » en cure de séchage (1 semaine) puis à l’air libre durant 3 à 7 semaines.
Les rares petites tuileries qui ont survécus à l’industrialisation proposent des briques dites extrudées ou filées qui sont les éléments de terre crue avant leur cuisson. La terre sortie de la carrière située à proximité, est préparée, généralement mise en "cure" à l'extérieur puis mise à l'abri avant son utilisation.
Les cartes géologiques et notamment les cartes du site georisque (retraits et gonflements) délimitent les zones dont le sol est constitué d’argiles ou de marnes, (le kaolin, n’évoluant pas n’y est pas mentionné).
(Carte qu’il est possible de zoomer sur une commune : Toutefois comme il est dit sur le site il peut exister des zones argileuses d’extensions limités non cartographiées. C'est notamment le cas dans les fonds de vallées principales (Jaur, Salesse et surtout Thoré), comme à St Pons, au lieu dit des Tuileries en bordure de la Salesse.
P. Mailhe dans l'article "la montagne sacrée du lauzet" (bulletin du musee N°3 ) signale une importante accumulation d'argiles rouges (colluvions) provenat de l'erosion de paléosols sur la moitié inferieure du vallon des matairies de Portes et Aprat et des ecoles de Frescati a l'Ouest de l'agglomeration.
http://www.georisques.gouv.fr/viewer/MainTileForward.do#
Par ailleurs au XIXe siècle l’on peut dire que tous les villages situés sur ces zones ou à proximité étaient pourvus d’une tuilerie fabricant tout un ensemble d’éléments en terre cuite (tuiles, briques …). Ces tuileries étant restées actives jusqu’au XXe siècle il en reste bien souvent des « vestiges » (four avec cheminée) et des appellations.
Seules demeurent en activité les tuileries : (cf: cartes des producteurs : onglet ............).
- Bouisset à Albine (81)
- Terreal à St Amans Soult (81)
(Dans le Tarn, il y avait encore en 1930 une cinquantaine de briqueteries, dans l’Aude une trentaine, dans l’Hérault autant).
Essentiellement les zones argileuses reconnues se situent à l’Ouest (après Labastide) et au Sud (à partir de Lacaunette).
(1) : La façade du 17 Rue Villeneuve est constitué de pierres jointées à la terre rouge, alors que le 15 dispose encore d’une cloison en terre et bois.
(2) : Patrick CHARMEAU auto constructeur et chercheur avisé indique que la fabrication des adobes prend moins de temps que pour celle des BTC.
T6 Bibliographie : pour aller plus loin
Carte géologique
Georisque (site des risques retraits et gonflements des argiles).
Maisons d’argiles en Midi Pyrénées 127p. 2000
Bâtir en terre Leiticia Fontaine 222p. 2010
Traité de construction en terre CRATERRE 349p. 1995
Les cultures constructives de la brique crue (Echanges transdisciplinaires) 500p. 2011
Archives départementales (statistiques industrielles – établissement dangereux …)
Détails des savoirs faire
- BTC, vol 1 Manuel de production V. Rigassi CREATERRE - EAG 103p.
- Auto construction écologique Maison Charmeau 2005 (15 fiches éléments d’ouvrage)
- Les enduits de façade chaux – plâtre – terre. 117p. 2010.
- Les guides de construction en terre 2019
Torchis
Pise
Brique
Terre allégée
Enduits
- Site ARESO http://www.areso.asso.fr/
La chaux est surtout connue en tant qu’enduit de grande longévité, indispensable sur le bâti ancien notamment pour qu’il « respire ».
Bactéricide, fongicide, elle a toujours permis d’assainir et lutter contre l’invasion des insectes et champignons, de plus sous sa forme non éteinte, elle a toujours été utilisé pour réaliser des sols en terre battue.
Plus résistante à l’eau que la terre, elle l’a remplace ou l’a adjuvante pour la consolider et la stabiliser en tant que mortier.
Tout comme la terre, employée en grande quantité et mélangée avec des « déchets » végétaux, elle procure dans l’habitat un confort intérieur étonnant.
Elle permet aussi de réaliser toute une série de matériaux (et d’ouvrages) : des cairons et briques allégés aux badigeons en passant par des enduits également allégés ou non, tout en variant les formes.
Toutefois pour sa fabrication, elle nécessite :
- du calcaire qui est moins présent que la terre crue
- des traitements et notamment une cuisson comprise entre 450 et 1450° suivie d’une extinction à l’eau.
Elle est de plus non réversible directement. Néanmoins, la chaux aérienne est très souple d’utilisation, vu sa prise très lente et sa conservation à l’eau.
Parmi les autres usages, la chaux permet:
- De corriger l'acidité d'un sol en agriculture (amendement). On l'utilisait aussi pour les vignes (mildiou) et les fruitiers - En tannerie, de préparer les peaux au tannage. Toute la filière laibe était omniprésente dans la région (cf: les anciennes tanneries de St Pons, les études de François CHARRAS ...).
Il existe plusieurs types de chaux selon la teneur en argile et silice du calcaire utilisé:
- la chaux issue d’un calcaire pur est appelée chaux aérienne ou chaux grasse, car elle fait sa prise à l’air en fixant le gaz carbonique.
- lorsque le calcaire contient plus de 5% d’argile, la chaux est dite hydraulique (ou chaux maigre), sa prise étant aidée par l’eau.
Les chaux aériennes dénommées CL (« calcio Lime ») ont une prise lente voire très lente, les chiffres qui suivent 70, 80, 90 indiquent leur pureté et donc leur hydraulicité.
Elles sont blanches, légères (0,4 à 0,6 de densité) peuvent être conservées dans l’eau (chaux en pâte) et sont appréciées pour leur esthétique.
Les chaux hydrauliques dénommées NHL (« Natural Hydraulic Lime ») sont distinguées par un indice de résistance et d’hydraulicité (2, 3, 5 la plus résistante).
Elles sont blanc cassé, voire grises, de densité 0,8 et font également une part importante de durcissement à l’air (carbonatation).
Vu sa longueur de prise et son coût, la chaux aérienne est réservé à la couche de finition des enduits (une couche d’enduit de plus d’1 cm ne ferait d’ailleurs jamais sa prise à cœur).
La chaux hydraulique peut être employée en forte épaisseur, par contre elle est difficilement compatible avec certains matériaux (terre, plâtre), notamment.
C.3 Evolution de sa fabrication
Porté en général à 900 ou 1000°, le calcaire (carbonate de calcium) se transforme en oxyde de calcium en dégageant du gaz carbonique, ce qui se traduit par une perte de poids de plus d’un tiers. Cet oxyde appelé chaux vive au contact de l’eau produit beaucoup de chaleur et devient de l’hydroxyde de calcium ou chaux éteinte sous forme de poudre ou de pâte (chaux grasse).
Gaché à l’eau, la chaux sert de mortier qui en absorbant du gaz carbonique de l’air redevient du calcaire qui colmate, lie, protège les éléments de structure.
L’utilisation de la chaux est attestée depuis plusieurs millénaires avant J.C.
Les stucs, les mortiers romain (mélange avec brique pilée ou pouzzolane) sont connus des grecs et des romains.
La production a été longtemps réalisée sur le chantier souvent par les constructeurs eux-mêmes.
Selon une méthode archaïque de cuisson à l’étouffé, on élevait une butte faite de bois de chauffage surmonté des blocs calcaires à cuire et l’on recouvrait le tout de terre ou encore on creusait une fosse accueillant combustible et calcaire en couches alternées. Cette fosse servait aussi, une fois la cuisson terminée à éteindre la chaux vive ainsi produite.
De tels procédés donnaient à la chaux une texture et une couleur caractéristiques à cause de la présence de terre, de fragments de charbon de bois et de cendres issus de la combustion ainsi que de nodules de calcaire plus ou moins cuits. Des fours pérennes sont utilisés au moins depuis le XVIIIe siècle. Ils nécessitent à proximité du calcaire sous forme de pierre de petites dimensions, de bois et si possible de l’eau pour l’extinction.
L'extinction de la chaux vive
Il était courant de procéder à l'extinction sur le chantier. Les méthodes les plus utilisées étaient l'extinction au sable ou en fosse.
L’extinction au sable se faisait en recouvrant les pierres sorties du four par une bonne épaisseur de sable (60 à 80 cm) en arrosant abondamment. Il arrivait qu’il se forme des crevasses d’où s’échappait la vapeur d’eau de la combustion exothermique ; il fallait alors reboucher. Ce procédé permet d’obtenir une pate que l’on pouvait conserver très longtemps en maintenant l’humidité mais souvent on mélangeait le sable pour faire un mortier à bâtir utilisé rapidement.
On préférait l'extinction en fosse par saturation pour la chaux destinée au mortier d'enduit; dans une première petite fosse les blocs étaient empilés arrosés avec une quantité d'eau fonction de la consistance de la pate désirée (pour les enduits environ 3,6 fois le poids de la chaux vive). La réaction exothermique s'effectuait, les blocs se désagrégeaient et par brassage on tamisait pour enlever les grosses impuretés et les incuits. Dans une seconde fosse plus grande on brassait après extinction on obtenait quatre produits differents: différents:
- l'eau de chaux ou eau forte utilisée pour les badigeons
- la fleur de chaux pate très fine et onctueuse recherchée pour les enduits de finition de qualité.
- la chaux grasse
- la chaux maigre ou chaux à bâtir utilisée pour les mortiers d'hourdage
On laissait reposer 3 mois pour les enduits, 6 mois jusqu’à 3 ans pour les enduits de finition suivant la qualité désirée.
Le XVIIIe siècle a été très riche en expérimentation notamment sur la gestion de l’hydraulicité, alors que le XIXe siècle poursuit mais de façon scientifique la recherche des meilleurs liants hydrauliques (Portland ..). Au milieu du XIXe siècle apparaissent les premières cimenteries qui avec l’essor des moyens de transports vont développer l’usage de nouveaux liants réputés plus résistants et à la prise plus rapide. C’est la disparition progressive des petits fours à chaux
C.4 Les fours à chaux sur le territoire
Dans sa thése M. CHERIF mentionne (p.129) que la commune comportait 7 tailleurs de pierre et 11 maçons qui fabriquent la chaux en s'arrageant pour trouver ou creuser leur four.
Dans le dossier archives des carrieres du XIXe il est question de l'adjudication en 1872 notamment d'une carriere et d'un four à chaux au lieu dit de la croix de Pongues, s'agit-il de la carière abandonnées de la grotte ...?
Sur le cadastre Napoleonien (1834) quatre fours à chaux sont repérés sur la commune de Saint Pons (qui contient jusqu'en 1864 la commune des Verreries de Moussan et jusqu'en 1884 celle de Courniou). Nous n'avons pas recherché les emplacements sur d'autres communes. Les fours employaient des dolomies (calcaire magnésium) dont la cuisson nécessitait des températures moins élevés et donc moins de bois.
Les fours plus modernes tels ceux de Courniou et de St Pons (emplacement route d’artenac) utilisaient du calcaire fragmenté (par des insertions de schistes, ils étaient encore en activité dans les années 50 -60.
ROCHE (notice geologique BRGM) |
COMMUNE | APPELLATION/ EMPLACEMENT (LIEU DIT) | Coordonnées | N° de parcelle | Carriere/ front de taille | Acces | Photo éléments calcaire | Photos lieux (carriere et four) | Interêt.. | Autres Observations |
Dolomies grises/devonien | Saint Pons | Entre Saint Symphonien et la tanque | ? | 204 | chemin des fours jusqu'à la RD 6112 | cadastre napoleonnien (1834)/ semble en limite de couche geologique | ||||
Dolomies grises/devonien | Saint Pons | Saint Symphonien |
43°28 753' 2°46643 Alt: 348 m |
204 | chemin des fours | cadastre napoleonnien (1834)/ semble en limite de couche geologique | ||||
Dolomies grises/devonien | Saint Pons | Combeliaubert |
43°27349' ? Alt : 586 m |
215 | cadastre napoleonnien (1834)/ semble en limite de couche geologique | |||||
Dolomies grises/devonien | Saint Pons | Teussine |
43°27727 ? Alt : 440 m |
681 | cadastre napoleonnien (1834)/ semble en limite de couche geologique | |||||
Dolomies grises / cambrien | Riols | La margue / Roulio/SectionI1 de marcoly | 168 | RD 6112 | cadastre napoleonnien (1834)/ semble en limite de couche geologique | |||||
calcaire / rubané devonien | Courniou | Le four à chaux | 553 | visible | RD d'Usclas | Carte geo | ||||
calcaire / rubané devonien | Saint Pons | Ntr Dame du Jaur | carriere visible | Route d'artenac | Carte geo | |||||
calcaire / rubané devonien | Saint Pons | Croix de Pongues | ? | RD 6112 |
Archives communales (terrain communal) |
C.5 Bibliographie et pour aller plus loin
Carte géologique
Les fours à chaux de Villeneuve - Minervois (JP. Perramon - Bulletin SESA 2007)
Techniques et pratiques de la Chaux 300p 1935 Ecole d’Avignon / Eyrolles
Les enduits de façade chaux, plâtre, terre 47p 2010 Eyrolles
Les matériaux naturels J.F. Bertoucello / J. Frouin 204p. 2006 (extinction p.53 à 55)
Savoir faire liés
Techniques et pratiques de la Chaux 300p 1935 Ecole d’Avignon / Eyrolles
Les enduits de façade chaux, plâtre, terre 47p 2010 Eyrolles
La chaux naturelle : décorer, restaurer et construire 141p 2001 Julien Fouin