Ces matériaux ont été regroupés car d’une part ils sont « proches » geographiquement et donc (à valider!) géologiquement et d’autre part surtout en raison des éléments d’ouvrages qu’ils permettent et qui sont remarquables dans la région (ardoises, lauzes, dalles..) ils sont aussi relativement semblables au niveau de leur structure et donc du savoir faire pour les façonner. Néanmoins nous les distinguons si nécessaire.
1S - Leurs caractéristiques et leur intérêt pour le bâti.
2S - Les éléments d'ouvrages et leur histoire.
3S - Evolution du travail en carrière.
4S - Les gisements et les carrières.
5S - Les savoirs faire de mise en oeuvre.
6S - Bibliographie et pour aller plus loin.
1S - Leurs caractéristiques et leur intérêt pour le bâti
D'après la définition de Wikipedia la lauze est une pierre plate de schiste, de calcaire, de basalte ou de gneiss, dont la surface est très importante par rapport à l'épaisseur et qui est obtenue généralement par clivage (fracturation selon des surfaces planes). Les lauzes sont extraites généralement de carrières dites «lauzières» ou de pierriers naturels ou proviennent de l'épierrement des champs. La lauze est plus épaisse que l'ardoise elle même en schiste et extraite de carrières dites " ardoisières".
Le schiste et calschiste sont formés de couches d’argiles peu à peu solidifiées et soumises à des cycles de pression complexes. (Les couches solidifiées ont subi des pressions horizontales qui ont produit un feuilletage perpendiculaire aux couches c’est la schistosité ou le plan de fissibilité qui permet la subdivision du schiste en ardoise ou lauzes.)
La roche conserve son plan de sédimentation et, son croisement avec le plan de fissibilité constitue le « longrain » direction souvent bordée de cristaux et utilisée pour tailler les cotés de l’ardoise.
Les couleurs qui peuvent etre très différentes sont dues à la composition minéralogique (55 à 60% de silice, alumine et fer) qui dépend de l’histoire géologique.
L'imperméabilité, la fracturation selon les surfaces planes, en différentes épaisseurs, les formes et la perennité ont permis de produire des:
- ardoises et lauzes utilisées en couverture
- dalles et autres ouvrages.
2S - Les éléments d'ouvrages et leur histoire.
L'on peut distinguer:
-
des lauzes en gneiss ou micaschistes omniprésents dans l'architecture sous formes de dalles de sol, de marches d'escaliers (appellés "degreds"), de clotures (les "levures"), de pavement de cave.. Si les couleurs (du gris au jaune), les dimensions sont variées, l'aspect est caractéristique et remarquable ce qui leur a valu le nom de «dalles du somail». Elles semblent pouvoir être récupérés et façonnées le cas échéant sans trop d’efforts et avoir toujours étaient utilisées du fait de l’absence de concurrence pour leurs dimensions (le marbre, le granit.. plus durs devant être taillés..). L’apparition et l’usage généralisé du béton a entraîné leur abandon. L'on trouve egalement dans les maçonneries des elements en gneiss notamment même si la plupart des moellons sont en calcaire.
-
Des lauzes en calschiste ou schiste ou pelites. D’après la littérature elles se trouvent sur les toits au XIIe siècle.
Posée d’abord sur les édifices de prestige religieux elle vont remplacer peu à peu le chaume et le genêt.
Abondantes dans la région sous forme de petites exploitations voire de "pierres de cueillette" elles seront le matériau usuel (à noter que des règlements royaux et municipaux exigent au XVIIIe des couvertures en ardoises à cause des incendies du chaume). Toutefois le poids est pour les lauzes parfois important ce qui peut induire en couverture une charpente (et ses accessoires) renforcée et une étanchéité parfois précaire aux « plis ». Il semble que les lauzes en calshiste et les pelites dont il ne reste plus trace sur le bati ont été les premieres utilisées du fait probablement de la facilité de leur extraction et abandonnées à cause de leur gelivité du moins pour le calschiste.
-
A partir de 1850 la généralisation des transports .. mais aussi des avancées et des investissements technologiques vont entraîner l’apparition de concurrents plus compétitifs (légers) et plus « modernes » (ardoises de Lacaune, tuiles) et peu à peu la disparition des petites exploitations. L'ardoise traditionnelle est alors débité mécaniquement avec des épaisseurs réduites.
Aujourd’hui l’ardoise « contemporaine » (dont l’emblème est depuis les années 80 la très compétitive ardoise espagnole) est un matériau léger, facile à poser, et à entretenir répondant à des normes ce qui a provoqué une standardisation, uniformisation et perte d’esthétique.
C'est l'ardoise industrielle, "standard" ou "normalisé. Les DTU et le NF P 32-302 donnent les prescriptions tant du matériau que de sa pose. L'ardoise traditionnelle (dont les modèles H1 et 2 et les ardoises rustiques destinés au patrimoine monumental) essentiellement extraite et fendue à la main ne répond pas toujours à ces normes.
Choisir une ardoise fine posée au crochet n'est pas toujours une bonne option car elle s'use rapidement.
Il subsiste néanmoins des productions « traditionnelles » . L’on comptait en 2004 en France 12 lieux d’exploitations alors qu’en 1930 il y avait environ 100 types d’ardoises.
Les ardoises schisteuses subsistent en couverture en altitude (Monts de l’Espinouse et de la Montagne Noire) alors que ailleurs les lauzes en micashistes ne restent que sur quelques avancées de toit (appellés "forget" ou larmiers), sauf dans la zone de Labastide ou existait une production semble t’il conséquente d’ardoise schisteuse. (selon "Toits d'ardoise").
-
des ardoises de grandes dimensions qui servent de parement aux pignons exposés aux pluies (Est et/ou Ouest) (Essentage rustique). Ces ardoises ont été produites jusqu'au milieu du XXe siecle essentiellement à Lacaune.
3S - Evolution du travail en carrière.
Pour ce qui est des ardoises et lauzes.
1 A la main et à la barre à mine (1T par jour en moyenne par personne).
2 Les blocs sont découpés puis débités en « repartons » au coin ou bouc (coins d’acier) manuellement et au marteau et burin
3 vient alors le travail des « fendeurs » qui comprend clivage, avec ciseau et maillet en bois , après une humidification aux moyens de toiles humides puis façonnage (taille) à l’encochoir ou couteau taille avec l’aide d’une enclume.
La taille preparé par un pointillé est effectuée par un geste sec permettant de donner un biais aux cotés (biais appelé « épaufrure ») destiné à favoriser l’écoulement des eaux
4 les ardoises ou lauzes sont rangées horizontalement selon dimensions en cartelette ou palette
* Les fendeurs aussi appelés fendeur sur butte car il travaillait sur les déchets de taille (tertres). Ils se protégeaient des intempéries dans des abris ici montés en pierre sèche.
Actuellement l’explosif (ou sciage au fil) est souvent utilisé, puis la scie mécanique pour arriver à des blocs correspondants aux dimensions des futures ardoises. Le travail du fendeur est facilité pour le façonnage éventuel (rondissage et percement effectués à la machine).
Pour ce qui est des grandes lauzes. (dalles du Somail).
Nous ne possédons pas d'information sur ces savoirs faire qui devait s'appuyer notamment sur l'utilisation de coins en bois dont la dilatation par humidification devait permettre de détacher la dalle.
NOTA: Les rebuts tant de l'extraction que de la taille qui representent une masse considerable et qui etaient laissées sur place sont aujourd'hui valorisables
4S - Les gisements et les carrières.
A1 Les renseignements locaux:
Les lauzes et les "dalles du Somail"
Malheureusement des écrits specifiques à leur sujet n'existent pas. Pourtant ces dalles sont remarquables.
Le Docteur GRANIER dans son livre «Sur les chemins du Somail» (publié en 1972) mentionne au lieu dit «roucan» une carrière de dalles du somail abandonnée depuis bien longtemps en les qualifiant de véritables «pierres sauvages*» à la «vocation cistercienne». *(référence à l'ouvrage les pierres sauvages de Fernand Pouillon).
Il indique également que le plan cadastral nomme le chemin du hameau de Bapech au ponceau du torrent des Pauzelles: chemin des lauzieres (dans le ravin et au dela presence de lauziéres).
Le dossier archives de la mairie de Saint Pons relatif aux carrieres du XIXe contient les documents d'adjudication de 1853 à 1873 de la carriére de dalles de Bapex qui s'etend du rec de gapayroux dit saigne prat jusqu'au "legle" de babex. (il semble que cette carriere soit dans la foret, et qu'il existe deux autres carrieres en dehors).
La toponymie actuelle et ancienne (cadastre napoléonien et compoix) fourni des renseignements (lauzade, lauzet...).D'aprés M. CHERIF le cadastre mentionne un lieu dit les carrieres à courniou (section K feuille2), et un autre les laouzios (section N unique); et le compoix de 1680 de façon certaine des lieux dits carrieres à Usclaz et lauzies à Bapech.
Jean Pierre ROUANET et Etienne CROS nous ont indique les exploitations notamment de «lauzes» de gneiss qui existaient tout au long de la route des crêtes (mandole, roucan, entre roucan et la jante …...) dont certaines à grain très fins en schiste.
Selon l'ouvrage "Premian" de H. LAURIOL de 1996: la bande des trés beaux micashistes des Caut a fourni ces grandes dalles qui pavaient le sol des maisons, les cours des patus, les aires ou bien dressées limitaient les chemins et protegaient les jardins du betail et des volailles. (levures).
Le Dct GRANIER mentionne dans son ouvrage qu'il existe un amas de rochers prés du dolmen d'Ichi (commune de Premian) et qu'il n'est pas le seul: sur chaque cordon montagneux qui paralléles les uns aux autres descendent au Jaur à peu prés à la même altitude se retrouvent de semblables formations et certains voient dans cette ligne de rochers courant ainsi sur tout le versant la zone de contact entre les gneiss du Somail et les schistes de la vallée du Jaur. Ces rochers ne sont ils pas des zones d'exploitation? Comme ceux le long de la route des crêtes (piste forestière).
Les ardoises
Le dossier archives de la mairie de Saint Pons relatif aux carrieres du XIXe contient les documents d'adjudication de 1845 à 1876 d'une carriére d'ardoises dans le tenement de marthomis au "baous communal" située entre la chaine de rochers et le chemin d'exploitation.
* Les materiaux les plus fins formés de pelites ou pelites greseuses: lauzieres visibles du mont Saint Bauzille, d'aprés les residus ces lauzes etaient aussi ramassées en cueillette.
* Les schistes à Paradoxides: Montibergues (Verreries de Moussans), Ferrals les montagnes, Coulouma
* Les calcshistes dans le saint ponais
* Les gneiss oeillés et les gneiss sur les plateaux du somail: lauzes grossiéres.
Exploitations toujours en activité au NE: La Madale à l'Ouest.: Haute vallée de l'Orbieu, et au sud: Pradelles. (voir carte des producteurs).
A3 La carte "Etat Major" (1818-1866)
Bien que la representaion des carriéres soit difficile à distinguer (cf: fiche comment retrouver une carriere) l'on reconnait nettement l'exploitation autour du Mont saint Bauzille et une exploitation au dessus du virage (RD 609) denommé "Col des bouteilles.
A4 Le livre "Statistiques de l'Hérault d'Hippolyte Creuze de Lesser de 1824"
Dans l'arrondissement de St Pons sont mentionnées outre les 5 carrières de marbre :
*Une carrière de "granit batard"à 6000 m sur la route de la Salvetat , cette carrière doit correspondre à celle du col des bouteilles soit du gneiss.
*Deux carrières d'ardoises gris blanchâtre appartenant à la ville d'ou sont extraits 200m par an, et non situées.
*Une carrière d'ardoise blanc foncé dite de Poussarou sur la commune de Ferrières à qui elle appartient et d'ou sont extraits 150m par an.Il se dit que les ardoises de St Pons auraient servies à Viollet le Duc à couvrir les toits de la Cité de Carcassonne.
A noter le livre :"Toits d’ardoise" qui mentionne de l'ardoise épaisse et la lauze schisteuse dans:
*la région de Lacaune et des monts de l'espinouse
*la montagne Noire: Dourgne - Citou - Labastide- Rouairoux
A5 Situation - caracteristiques- possibilité de reexploitation ou valorisation..
Grace à toutes ces informations .nous avons reconnu les anciens sites a proximité de Saint Pons et noté certaines données pouvant servir à une valorisation.
ROCHE (notice geologique BRGM) |
COMMUNE APPELLATION/ EMPLACEMENT (LIEU DIT) |
Coord. et N° de parcelle |
Type de produit Couleur |
Front de taille (HxL) | Acces/ descente des blocs |
Photo lieu produit |
Interêt.. | Autres obs. |
Gneiss |
Saint Pons Col des "bouteilles" (au dessus du virage) |
43,49341 2,75885 Alt: |
Petite dalle Gris argenté |
non visible pendange vertical prelevement par trou? |
chemins lateraux |
?? Les dechets sont diformes |
||
Schisto-greseux |
Courniou La cascade au dessus du Pont gaulois |
43,5029 2,67625 Alt: 787 et Rive droite 42/ RG 56 |
lauze bleu foncé |
non visible pendage vertical exploitation dispersée? |
De bapech/chemin des lauzieres? |
Touristique Abri en pierre seche, pont en grandes dalles (pont gaulois) Presence à proximité piege à loups, dolmens, tombes capitelles.. Element decoratif?.. couverture.. |
||
Schisto-greseux |
Courniou Mandone/lieu dit Frescatis |
43,50304 2,67979 Alt: 849
et 190 |
ardoise grise noire |
Arrété à l'assise de la route forestiere sur une grande longeur | Route forestiere ... ? environ 3700 metres de la RD |
Touristique à proximité pont gaulois.. Enormes andins de debris d'ardoises sur plusieurs niveaux abri en pierre seche (trés grosse ardoisiere) decoration?.. couverture. |
Propriété de l'Etat (ONF) / | |
Gneiss |
Courniou Roucan / au dessous de l'ancienne colonie |
176 |
Grande dalle/pierre à batir grise avec taches jaunes |
Rochers en surplomb pendage subvertical |
chemin vers Prouilhes |
|
Enormement de blocs en contrebas/ murs: pierre à batir en attente | ? |
Gneiss |
Courniou marthomis |
145 | Grande dalle/pierre à batir ? | Rochers en surplomb pendage subvertical |
Route forestiere environ 1700 metres de la RD |
|
Au dessus et au dessous de la route | |
Calcschiste |
Courniou Lauziere (appellation sur cadastre) |
75 |
lauze toiture? gris-blanc |
pas visible | Chemin de courniou | ? | Envahi de vegetation (chenes verts..) | |
Schiste |
Courniou Le Blondil |
39/40/41 | pas visible | Chemin de courniou? | ? | Cabane abri pierre seches | ||
Schiste |
Courniou Usclats Caimon |
43,47732 2,68953 Alt: |
Lauze toiture? Bleu |
Couche horizontale? |
Chemin du relais 100m environ avant bati en contrebas |
elements vus à Prouilhes
|
Element decoratif couverture. |
Cabane abri pierre seches
|
Pelite greseuse |
Les Verreries Saint Bauzille |
43,45496 2,70482 Alt: 700 et 230/231 |
pas net pierre d'appareil lauzes Bleu clair |
horizontal dans rochers en surplomb | Route forestiere |
|
decoration couverture. |
Egalement probable ancienne extraction au col d'Usclatz |
Pelite greseuse | Saint Pons Combeliaubert | 249/248 |
lauzes Bleu antracite |
"Millefeuille vertical | route forestiere | ?.. | ||
Pelite greseuse | Saint Pons Cavenac | 43.459153, 2.739800 |
lauzes Bleu clair |
"Millefeuille vertical? | Sous le champ de Courreus |
Element decoratif?.. couverture... |
Cabane abri pierre seche | |
Schistes rouges fonces (lie de vin) |
Les Verreries Montibergues |
43,44662 2,751651 Alt: 650 et 382/511 |
lauze de toiture rouge foncé |
horizontal et ponctuel? | prés de la D147 (à 1400 environ de la route forestiere au dessus du panneau touristique) |
|
Element decoratif.. couverture... |
Foret domaniale andins circulaires de debris d'ardoises |
Ensemble de lauzes à Prouilhes
La recherche est en cours (si tant est qu'elle finisse un jour) notamment dans la Tanque à le verdio (lauziere).........
Pour ce qui est des grandes exploitations ardoisieres de Lacaune elles etaient souterraines jusqu'en 68 ou elles sont devenues aeriennes.
A5 Des elements en reemploi
Certaines personnes ont recupéré des lauzes notamment et pourraient eventuellement les céder:
- Monsieur André EDO à Prouilhes (ancien maçon)
- Monsieur GUIBERT à Prouilhes
5S - Les savoirs faire de mise en oeuvre.
Ce point est ici abordé car la taille souvent nécessaire à la mise en oeuvre nous parait similaire à celle utilisée en carrière.
La couverture :
Très tôt (XVIe siècle) un métier spécifique de couvreur est apparu
L’outillage du couvreur n’a guère changé depuis le XVIIIe (essentiellement marteau avec pic, tête, arrache clou, et taillard et enclume)
Posées à sec (pour des pentes <30° ou fixées à l’aide de chevilles, de clous avec parfois maçonnage de terre (argile) ou de chaux sur voliges (voligeage) en chêne ou châtaignier jusqu’au milieu du XIXe, les ardoises modernes (normalisées) fixées au crochet le sont le plus souvent sur liteaux (litonnage).
La pose est faite par recouvrement et traditionnellement (du fait de la variété des éléments et de la facilité de pose) à pureau (partie exposée à la pluie et égale au tiers de la longueur) décroissant et joints brouillés (pose par rangs décroissants du bas au haut du toit avec des largeurs variables)
Le calepinage est un processus essentiel pour le couvreur qui gère ses éléments par longueur. Il consiste à estimer le nombre d’éléments par dimensions nécessaires pour couvrir le toit
L'ouvrage "Toits d'ardoise" comporte des fiches techniques (p 28-33)
fiche technique 1 : technique de pose traditionnelle
fiche technique 2 choix des formats d’ardoise – le calepinage
fiche technique 3 : pose de l’ardoise contemporaine
fiche technique 4 : choix des formats – les tableaux de recouvrement
fiche technique 5 : égouts et rives de toiture
fiche technique 6 : partages et épis de faîtage
fiche technique 7 : arêtiers
fiche technique 8 : pénétrations
Dans la montagne Noire la pose est réalisée à pureau décroissant sur bain de mortier et voligeage en sapin de 27 jointif.
Dans les monts de Lacaune et de l’Espinouse la pose est réalisée au clou à pureau décroissant et à joints brouillés. Ici les chevrons débordent alors qu’en Montagne Noire ce sont les ardoises maçonnées qui forment l’avancée
Les dalles
La taille à l'arrondi remarquable est caracteristique . La surface quasiment plane ne semble pas devoir etre travaillée.
6S - Bibliographie et pour aller plus loin.
Documents |
Géologie – Zones d’extraction |
Les savoirs faire en carrière |
Les éléments d’ouvrage |
L’ouvrage, les savoir faire |
Ouvrages réalisés |
Histoire |
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Carte geologique
de la France a 1/50000
Saint Pons
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X
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Carte Etat Major | X | ||||||
Pose traditionnelle et restauration
Christophe Le Pabic (Eyrolles)
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X
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X
selon regionet carrieres
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X
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X
fiches techniques |
X |
X
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La montagne Noire
MPF n°139 (carriere de Dourgnes)
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X | X | X | ||||
Parc regional du Haut Languedoc
MPF n° 138 |
X | X | X | ||||
(lauzes - ardoises)
MPF n° 173
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X
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X
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X
reglementation 2009
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Les toits de pierreMPF n°4/75
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X
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X
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X
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X
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X
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MPF n° 129
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X
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X
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Geologie de la Montagne Noire
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X
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Carte IGN au 1/25000
serie bleu (ancienne version)
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X
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Il faut bien sûr rajouter à ces documents ceux cités en A1
- Sur les chemins du Somail (Docteur Granier)
- Archives de la mairie
- Cadastre napoleonien et compoix
- Premian (H. Lauriol)